Vendredi 7 octobre 5 07 /10 /Oct 03:10

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Quoi de plus excitant qu'un scénario D/s !


Nous nous étions donné rdv dans un bar en ville puis nous sommes allés à l'hôtel. Le soir même, de la manière dont nous faisions l'amour, je compris qu'elle en voulait plus.


Le lendemain elle insista pour me revoir dans le même bar pour discuter avec moi. Je brisa la glace en parlant de domination. Tout de suite elle acquit à toutes mes idées, qui progressivement nous mènent vers un scénario assez chaud!


Je suis le dominant, le maître. Elle, la soumise, la salope, la chienne. Et c'est avec rudesse que je dois la dresser à être "bonne", obéissante, performante, docile et cochonne. Par la baise déchaînée je dois la formater à devenir ce dont elle aspire.


La douleur (masochiste ou pas?)


Est masochiste celui ou celle qui aime la douleur, même très faible. Ce n'est que l'accoutumance à la douleur qui détermine le seuil maximal de douleur. Au début la limite est très basse, de petits pincements de tétons suffisent à provoquer chez la soumise un plaisir masochiste intense.


Le dépassement de soi


Elle a des limites qu'elle veut franchir par l'excitation que ça lui procure. Elle a envie de faire des choses qu'elle trouve obscène, sale. Des pratiques qu'elle n'assume pas du tout, même au près de la plus confidente de ses amies. C'est par la douleur et la punition que le dominant doit amené sa soumise à dépasser ses propres limites. C'est pour éviter la douleur qu'elle va accepter de faire certaine chose.


La deuxième nuit commence


Nous nous sommes rencardé quelques jours plus tard devant un hôtel plus discret, phoniquement mieux isolé. Je la regarda avec des yeux sérieux, presque sévère. Elle sait que ce qui l'attend va la faire entrer dans une transe délirante. Une fois à l'intérieur, nous buvons un peu de vin puis je lui ordonna de se préparer dans la salle de bain. Une fois prête, elle vient vers moi, je la saisit avec délicatesse par la nuque et lui dit de se mettre à quatre pattes sur le lit tout en se tortillant sans cesse le temps que je me prépare.


10 minutes plus tard, elle continue à se tortiller. Je sors de mon sac un collier et lui met autour du cou en lui disant que tant qu'elle le porte, elle m'appartient. L'ambiance tamisée, le vin commençant à faire de l'effet, je commence ma domination.


Je découvre ses limites


Dans un premier temps je la teste. Pincement de téton, petite gifle, fessée, ordre, insulte...

Je dois savoir comment elle réagit. Si quelque chose la dérange, je le voit immédiatement. Elle était complètement en transe, signe que tout se passe bien.


"Petite salope, je vais faire de toi une bonne soumise", "tu sera bien obéissante", "tu vas apprendre à être bonne".

Elle répond "oui je veux ça", "oui Maître !", "faites de moi votre chienne".


J'entre ma queue dans sa bouche (progressivement jusqu'à une gorge profonde), je la claque sur le visage, les seins et les fesses. Je la pénètre avec douceur au début, puis avec brutalité. Je lui crache même au visage et elle me dit qu'elle adore. Elle sent qu'elle est totalement à ma merci. Soumise.


Il y a quelques mois, elle a rechigné à lécher mon jus qui était dans ses mains, j'ai pincé ses tétons de plus en plus fort en la regardant dans les yeux, elle me regardait comme si elle voulait me faire pitié. J'ai pincé plus fort et elle a tout léché et avalé bien sagement. Finalement, je suis un peu sado :)


Ce qu'elle aime par dessus tout, ce sont ses propres mots "oh oui je veux la corde". J'entoure une corde par sein. Elle aime cette sensation, et aussi que je puisse la manipuler en tenant le rondin de corde.


Fidélisation


Elle me demande une fois par mois environ. Elle aime se défouler en toute discrétion avec son amant préféré :)

 

Par mail pour vos envies et scénarios :

Jean.brasses@gmail.com

Par jean-escort
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